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Mémoires
31/08/2009 17:45
L’Aurore vient du fond du ciel
Mémoires de Maurice Druon
Genre : Biographie
Paru en 03/2006
Edition : Plon – De Fallois, Paris
broché
372 p.
EAN13 : 9782259204507
Présentation de l’éditeur
Notre époque est indiscrète. Certains lui résistent. De Maurice Druon, le plus connu peut-être des écrivains français vivants, que connaît-on ? On connaît le romancier, l’homme politique, le Secrétaire perpétuel de l’Académie française, et l’infatigable combat qu’il mène pour la défense de la langue française. Mais de Maurice Druon lui-même, de l’homme Druon, que savons-nous ? Aujourd’hui, dans un récit rapide, chaleureux, coloré, il nous décrit d’abord le cheminement de ce qu’il appelle son vouloir vivre, à travers les ascendances géographiquement les plus diverses et parfois extravagantes. Puis, avec cette allégresse qui semble le tempo même de la jeunesse, en dépit des orages intérieurs et extérieurs qui la menacent, Maurice Druon nous dit comment, pendant les courtes années qui séparent
la Première Guerre mondiale de
la Seconde , il est devenu ce qu’il est. Mais au-delà du charme des souvenirs et de la formation d’une personnalité, Maurice Druon nous révèle, dans le style ferme et grave qui est le sien, « chaud de cœur et clair d’esprit », la véritable raison d’être de ces Mémoires : « Suite profane d’une tradition sacrée, les « mémoires » sont le vêtement qui nous habillera sur notre lit de mort, le vernis de notre sarcophage ». Sinon, quoi de plus dérisoire que d’aspirer à une immortalité de papier, afin de se maintenir, un peu plus, un peu moins, dans le souvenir d’une espèce qui, tôt ou tard, disparaîtra d’une planète, destinées de toute manière, à refroidir. ?... Le témoignage est l’acte terminal de notre mission sa protection au sens premier du terme. C’est ce témoignage dont il livre ici le début.
Description
Français d'adoption, Maurice druon a choisi sciemment la France pour Patrie. C'est ce qu'il démontre dans ce livre.
Biographie
Maurice Druon, secrétaire perpétuel de l'Académie française, est l'auteur des Rois maudits, des Grandes Familles, de Vézelay, colline éternelle…
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Un livre de Max Gallo
31/08/2009 17:10
Fier d'être français de Max Gallo
Genre : Essais - Documents
Editeur : Fayard
Publication : 8/2/2006
ISBN : 2213629323
Extrait : "faut bien que quelqu'un monte sur le ring et dise: "Je suis fier d'être français. " Qu'il réponde à ceux qui condamnent
la France pour ce qu'elle fut, ce qu'elle est, ce qu'elle sera: une criminelle devenue vieillerie décadente. Or nos princes, qui devraient la défendre, au lieu de pratiquer la boxe à la française, s'inspirent des lutteurs de sumo ! Comment ne pas chanceler dans ces conditions? Et les procureurs de frapper fort. Ils exigent que
la France reconnaisse qu'elle les opprime, qu'elle les torture, qu'elle les massacre. Seule coupable! Pas de héros dans ce pays! Renversons les statues, déchirons les légendes. Célébrons Trafalgar et Waterloo, et renions Austerlitz! Ils veulent que
la France s'agenouille, baisse la tête, avoue, fasse repentance, reconnaisse ses crimes et, tondue, en robe de bure, se laisse couvrir d'insultes, de crachats, heureuse qu'on ne la " nique " qu'en chanson et qu'on ne la brûle que symboliquement chaque nuit! Il est temps de redresser la tête, de hausser la voix, de monter sur le ring... et de boxer à la française!"
PW : Bonne Analyse de ce qu’est l’'identité française, n'en déplaise aux Euro-béats et mondialistes de tous crins, écrit dans un style remarquable !
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Le gendarme des banques britanniques donne raison à nos thèses
28/08/2009 17:19
La surprenante charge du gendarme des banques britanniques contre la City
Lord Adair Turner, le président de la Financial Services Authority, reproche aux banques du royaume leurs prises de risques excessives. Il s’interroge sur l’utilité sociale de la City et propose pour diminuer les bonus une taxe spéciale sur le modèle de la taxe Tobin.
La charge, venue du gendarme bancaire britannique, a pris la City par surprise. « Si vous voulez faire cesser les rémunérations excessives, vous devez réduire la taille du secteur financier ou appliquer des taxes spéciales sur ses bénéfices », affirme Adair Turner, le président de la Financial Services Authority (FSA), avant d’appeler à une « reconstruction massive du système de régulation financier mondial, pas un simple ajustement ». Nicolas Sarkozy, décidé à porter sur la scène internationale les initiatives françaises pour encadrer les bonus, n’aurait sans doute pas renié ces déclarations.
A Londres, elles ont fait l’effet d’une bombe. Dans cette interview au magazine « Prospect », reprise hier par de nombreux quotidiens britanniques, lord Turner ne ménage pas ses critiques contre les banques. Il leur reproche leurs prises de risque excessives, s’interroge sur l’utilité sociale de leurs activités et se dit partisan d’une taxation des banques pour diminuer les bonus qu’elles accordent à leurs opérateurs de marché, sur le modèle de la taxe Tobin. Si les rémunérations sont trop élevées dans le secteur bancaire, cela tient en effet, selon le patron de la FSA, à la « dérégulation financière caricaturale » des dernières décennies qui ont rendu la City « hypertrophiée ».
Plusieurs pistes sont donc avancées pour y remédier. Adair Turner estime qu’augmenter le capital minimum nécessaire pour exercer des activités boursières serait l’« arme la plus puissante pour éliminer activités et profits excessifs ». Il évoque aussi la possibilité d’une « taxe sur la taille » afin d’éviter que les banques ne deviennent « too big to fail ». Il propose enfin d’instaurer une taxe sur les transactions financières : « Si une hausse du capital requis n’était pas suffisante, je serais heureux d’examiner la possibilité de taxes sur les transactions financières, des taxes Tobin », poursuit-il. La taxe Tobin consiste à prélever un pourcentage sur chaque transaction financière.
Un baroud d’honneur ?
Le ministère des Finances britannique a accueilli la proposition plutôt froidement : « Les taxes sont l’affaire du chancelier, les ministres des Finances du G20 discuteront des bonus qui ont mis en danger le système bancaire, la semaine prochaine à Londres », indiquait-on hier au 11 Downing Street. Les déclarations d’Adair Turner ont été tout aussi modérément appréciées à la City. Certains y voyaient surtout le baroud d’honneur d’un président nommé par Gordon Brown et menacé par un retour aux affaires des conservateurs. Hier, la FSA s’est d’ailleurs empressée d’indiquer que les propos de son président étaient « extraits d’une table ronde et n’étaient pas l’expression d’une nouvelle politique ». Ils marquent de fait une inflexion de l’Autorité des services financiers britannique, critiquée jusque-là pour sa complaisance envers les banquiers. Lord Turner considérait lui-même il y a quelques mois que les bonus étaient un « symptôme » de la crise davantage qu’une cause. La FSA a bien édicté à la mi-août 8 principes destinés à mieux encadrer les bonus. Mais, sous la pression des banques, le texte a été allégé sur plusieurs points clefs.
Les banquiers britanniques avaient agité le spectre des départs en masse des traders vers d’autres places plus « accueillantes » comme New York ou Zurich. « Si on introduit de mauvaises règles ou de mauvaises taxes, on pourrait rapidement voir des activités partir à l’étranger »,a encore affirmé hier l’association des banques britanniques, en réaction aux propos d’Adair Turner. Et de rappeler que « plus de la moitié des 336 banques opérant au Royaume-Uni venaient d’autres pays : c’est une réussite à ne pas prendre à la légère ». La question de l’attractivité des places financières ne se pose visiblement pas qu’à Paris.
Les Echos, Guillaume Maujean, 28/08/09
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Toujours d'actualité
27/08/2009 17:10
de Jacques de Guillebon
Essai (broché).
Format : 140 x 225 mm
228 pages
Paru le 06/04/2006
ISBN : 978-2-7509-0114-1
Présentation de l’éditeur
La France est au bord de la crise de nerfs. Les grandes utopies ont fait faillite. Les lendemains qui chantent déchantent. Les classes dirigeantes s’inquiètent. La révolte gronde. Les banlieues s’enflamment. Mais rien ne change. Avec fougue et pugnacité, Jacques de Guillebon se livre à une dissection au scalpel des tumeurs qui métastasent la société française. Tout y passe : la violence qui empoisonne les rapports entre hommes et femmes, les conflits de générations, le désespoir social, la frustration inhérente à l’idéologie du plaisir à tout prix, l’échec de l’intégration des immigrés, les problèmes de logements, le rejet de la classe politique dans son ensemble, l’absence de projet, le sentiment d’un avenir plombé. Radiographie sociale et politique,
La France excédée surprend par la pertinence de son propos. Un pari sur l’avenir.
Biographie de l’auteur
Jacques de Guillebon, 27 ans, vit à Paris. Ancien animateur de la revue Immédiatement, directeur délégué de la revue mensuelle catholique
la Nef , il collabore au Figaro Magazine et au Figaro Hors-série. Il est notamment l’auteur de Nous sommes les enfants de personne (Presses de
la Renaissance , 2005).
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Un Traité sous les feux nourris
27/08/2009 16:55
Traité de Lisbonne : game over ?
Le professeur italien Giuseppe GUARINO avait indiqué à juste titre que si le Parlement allemand devait adopter les lignes directrices de la Cour dans sa nouvelle loi d’accompagnement du traité, le texte approuvé par l’Allemagne serait alors différent de celui adopté par les autres pays, ce qui invaliderait toute la procédure.
En effet, la CDU et la CSU, sur incitation de cette dernière, ont formulé une résolution à annexer à la nouvelle loi, dont le vote est prévu pour le 26 août, stipulant que seule « l’interprétation » du traité de Lisbonne précisée par la Cour constitutionnelle aurait cours en Allemagne, et précisant que la Commission européenne et tous les Etats membres de l’UE devraient être informés de cette mesure.
Le dirigeant de la faction CDU-CSU au Bundestag, Volker KAUDER, a demandé au SPD de voter en faveur de la résolution, malgré son opposition sur le fond, afin d’éviter de bloquer la ratification du traité. Désormais, la faction pro-Lisbonne est échec et mat.
Voilà ce qu’a dû concéder à contrecœur Hans-Gert POETTERING, l’actuel dirigeant de la faction CDU-CSU au Parlement européen et l’un des principaux porte-parole du traité de Lisbonne. Il a reconnu que si le Bundestag adopte cette résolution, tous les autres pays européens devraient en faire autant, dans la mesure où la Cour constitutionnelle allemande a défini « un traité différent ».
Par ailleurs, en République tchèque, un groupe de sénateurs du Parti des démocrates civiques (ODS) prévoit de demander à la Cour constitutionnelle de leur pays de suspendre la ratification du traité de Lisbonne le temps de modifier la loi d’accompagnement tchèque. Ils estiment que tout transfert de pouvoir à Bruxelles doit être approuvé par au moins 60% des députés et sénateurs, et non à la majorité simple.
Ce groupe de sénateurs prépare aussi une nouvelle plainte contre le traité en tant que tel, dont le destin dépend de l’issue du référendum du 2 octobre en Irlande. Le Président tchèque Vaclav KLAUS (ODS) a déclaré qu’il ne comptait pas signer l’approbation tchèque du traité avant le référendum irlandais. Cela pourrait aussi être reporté du fait que des élections parlementaires anticipées sont prévues pour les 9 et 10 octobre.
www.solidariteetprogres.org, 25 août 2009
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